Okaeri => Petite regle : Presentez vous au Maitre des clefs

Konni petite Fa, je suis amayazo Ookami, ton grand cousin et patriarche de cette famille. Je suis heureux et honorer de faire ta connaissance. Voici ton trousseau de clef.

Ta maman, Suziyana t'atten avec tous les autre membres de la famille dans le shiro.

Amayazo fit signe a l'un de ses serviteur, l'honnorable Kun_iku.

Kun !! peux tu accompagner la charmante Fa, dans la salle de reunion et puis vous irez voir dans la cuisine si quelqu'un aurais un ptit quelque chose a lui donner a manger

Le serviteur etant arriver le plus rapidement possible a la demande d'Ama repondit:

Jeune Fa veuillez me suivre je vous prie

Calligraphiant dans l'aile ouest de la demeure principal, shodo aux etranges formes, tel une lama d'epee, le pinceau glissait sur la soie, laissant son empreinte d'encre noire.
La lumiere venait eclairer les fines estampes accrocher aux murs, ici et la les artistes avait sut mettre sur toile de papier de riz, leur humeurs, leur inspiration.

Ce matin un courrier avait apporter a Amayazo une grande nouvelle que rien ne semblerai troubler. La mantoru impeiale lui avait remit la charge de Gaka pour le Kuni no Uchi. S'etait un tres grand honneur pour sa famille comme la sienne.

Spoiler:

La journee serait-elles accompagner d'autre et bonne surprise. En effet, peu de temps apres cette mure reflexion, le maistre des clefs du tenshu, venait d'arriver derriere le shōji. Sa voie etait inquietante :

Maitre Amayazo....! Une troupe de samourai viennent d'arriver devant les portes du Shiro ! et ils demandent a vous voir.

Le jeune patriarche se releve et se dirige vers la cloison de papier de riz. Il l'ouvre d'un geste rapide, decouvrant le vieil homme accroupit derriere en signe de prosternation.

Tres bien allons voir cela...!

Gardant un serieux incontestable, Amayazo enfila ses zori en sortant et traversa d'un pas rapide le jardin. Dans celui-ci il appercut sa petite soeur Lin_chou qui arpentait les petits chemins de sable fin. Le grand frere, l'observe quelques secondes du coin de l'oeil. Il s'avait qu'elle s'aimait a se promener dans les sublimes parterres, mais a cette heure, ceci n'etait pas son habitude. Neanmoins, et malgres un doute subsistant, il continu son chemin.
Le maitre de la Demeure arriva au lourdes portes rester legerement ouverte dut a l'empressement du vieil homme eut pour lui annoncer la venu des voyageurs.

Il est rare qu'amayazo se presente lui meme, mais un membre d'une famille imperiale ne ce recoit pas a coup de serviteurs.

Ohayou gozaimasu, Youkoso ! Watashi no namae wa Ookami-amayazo desu*.

Que puis-je pour vous honorable voyageur ?

[hrp *Bonjour et bienvenu ! Je suis Amayazo Ookami hrp]

Reflechissant quelques secondes, effectivement Il avait lancer une invitation, mais Amayazo s'attendait a quelqu'un de plus jeune. Enfin bref peut-etre etait il ager mais ses sentiments pour sa petite soeur. Elle est comme un bourgeons de lotus qui vient juste d'eclore, leur pere se retournerait dans sa tombe si Ama, ne la mariait mal.

Il se doit de questionner l'homme avant de prendre une decision.

Je suis honorer de faire votre connaissance Heishi Tock-sama. Si je puis me permettre veuillez me suivre dans le jardin de la demeure. La tranquillite de cet endroi nous permettra de discuter en toute quietude.

Amayazo ouvrait le passage a Tocke, lui indiquant l'entree des jardins.

Le soleil avait taper toute la journee, et le saker avait tres certainement couler a flot.... Le maitre des clef s'etant tres certainement endormi. Pauvre homme que celui-ci...soul n'eut rien entendu. Dans ses doux reves bien arroser il entendit une voix... avec un etrange accent ...

Konnishi wa Maître des clefs !

Je me nomme Miyamoto Chomei, je suis l'oncle de Miyamoto Kazushi, Chef de la dite famille...j'aimerais m'entretenir avec le Chef de la famille Ookami ainsi qu'avec les parents de la jeune Ookami Borom-Nha, dicte Jasmin...bien sur, si cela est possible.

Il se leva tant bien que mal et repondit :

....euuuhh.... *hic* Mais bien sur je vais aller voir mon *hic* maitre et lui dire que vous etes ici !, veuillez patienter ceci *hic* ne devrais pas etre trop long cette fois....*hic*

Titubant, rebondissant a droite et a gauche, le maitre des clef s'en alla chercher le patriarche Ookami

La surprise fut totale, et le soir tombant.Lle maitre des clefs, habituellement sobre et bien portant, annonca a Amayazo l'arriver d'un nouveau visiteur. C'est surement le printemps qui fait faire tant de mouvemen, et les entremetteurs se presentaient tous aux portes du Shiro familliale.

Neanmoins, le patriarche Ookami etait pret a les recevoir. Son interet etant ceux des membres de sa familles et jamais, il ne laisserai mauvais fiancailles se faire. Il se preferait etre strict la dessus, tres strict car la virginiter d'une jeune fille est tel un diamant et se doit d'etre proteger.

C'est donc d'un pas bien decider qu'Amayazo se rendit aux portes, pour recevoir le visiteur. Patience etant une vertue, il esperait bien que celui-ci avait attendu.

Kombawa ! Miyamoto Chomei-san. Mon serviteur, qui sera chatier pour avoir eut l'odace de boire durant son service, vient de me prevenir de votre presence. Je vous prit de bien vouloir m'excuser de cette attente un peu longue en veriter. Si vous voulez bien me suivre jusqu'a la Cha-no-ma. Nous allons pouvoir discuter de votre visite en ce lieu.

Voyant que le Maitre de clefs aurait de la difficulté a se souvenir de son nom après s'avoir présenté,
Ma_Chao décida qu'il serait plus cordial de lui faire du thé pour aider le maitre a éclaircir son jugement.
Lorsqu'il vit que le maitre avait coupe en main et l'esprit en bon état, il se présenta alors:


Je me nomme Ma_Chao, de Takayama du Daimyo Oda, honorable Maitre des clefs. Bien que mon statut actuel de pauvre paysan ne soit pas si impressionnant, mon passé reflète mieux mes aptitudes. J'ai déjà été citoyen dans un autre daimyo (anglais) plus avancé que celui que j'habite présentement et je possède la connaissance de deux des langues pratiqué dans le Bafuku( parfaitement bilingue anglais et français).

J'ai été introduit a votre clan par une très bonne amie Suziyana et j'aimerai en connaitre plus.

C'était par une soirée pluvieuse que Jushichi se présenta aux portes du Shiro. Totalement trempée par l'orage, la jeune fille s'était enveloppée d'une pelisse rouge au dessus de son kimono déchiré – mais le tissu de mauvaise qualité avait pris l'eau, de sorte qu'elle en était toute transie de froid.
C'est au bord de la mort qu'elle parvint devant les portes de bois renforcées du château ; lesquelles étaient closes et protégées par une garnison de soldats en armes.
Se frottant les bras, elle se dirigea timidement vers le capitaine de défense, et lui demanda à ce qu'on lui ouvre les portes.

« Vous ne le savez probablement pas, jeune dame » lui répondit le militaire. « Mais ici, avant toutes choses, on se présente au maître des clés. Et il se trouve qu'il n'est pas sur la muraille en ce moment. Repassez demain. »

Un coup de tonnerre ponctua ses propos, et la pluie redoubla d'intensité. La vagabonde grelotta de plus belle et tenta de supplier le figurant – allez, quoi, je sais bien que ton boulot est sous-payé : entre prolétaires, on s'comprend, pas vrai ? Laisse moi passer, c'est urgent, il en va de l'avenir du pays.

« Je suis désolé, jeune dame » lui répondit fermement le soldat. « Pas de maître, pas de clés, et pas de clés, et vous rentrez chez vous. J'ai des ordres, et je ne peux pas vous laisser passer. »

Jushichi serra les poings, se montra menaçante, colérique, puis séductrice ; elle tenta de l'acheter aussi – mais rien n'y fit : elle se trouvait en face du figurant le plus dévoué de l'histoire de la littérature japonaise, flanquée à la porte de la loi façon Kafka.

En désespoir de cause, elle courût s'abriter sous un petit kiosque non loin. Elle n'avait pas fait tout ce chemin pour repartir bredouille... et puis elle avait rendez-vous ! Il finirait bien par se montrer, ce « Maître des clés », après tout.

Shani avait entendu parler du domaine de la Famille Ookami par son aimé. Elle décida de s'y rendre, la nuit comencait a tomber et le froid la saisit brusquement. Arrivée devant une lourde porte en bois, elle regarda les lieux et ne sachant quoi faire se présenta a un garde.

Konni, Je m'appelle Shani et je souhaiterai voir le maitre des clefs s'il vous plait.

Elle espérait ne pas attendre bien longtemps, elle passa ses bras autour de ses epaules et patienta.

Occuper a forger de nouvelles clefs, le vieil homme revenu finalement a son poste. Un ashigaru vint a sa rencontre. Apres s'etre incliner poliment devant l'ancetre de ce shiro, il lui chuchota quelque chose a l'oreille. Un sourir narquois se dessina sur le visage rider, avant que l'ancien n'arrive aux portes.

Il regarda la premiere femme.

Kombawa, les gardes mon dit que vous desiriez me voir ! dit-il en simclinant devant la visiteuse

Je suis le maistre des clefs de cette demeure, a qui ai-je l'honneur ?

Dans un mouvement rapide, digne d'un tigre, il regarda Yorikasa qui discutait avec une autre jeune femme. Ils semblaient se connaitre.

...haaa ca alors toi ici Shani c'est extraordinaire quelle surprise ! vraiment si je m'attendais a cela , ne tinquiete pas le maitre des clefs va arriver bientot !

Il devina bien vite que cette personne etait attendu depuis longtemps par les membres de la famille telque Kisada et son maitree amayazo. Il fit signe a un soldat d'aller porter un trousseau de clef qu'il sortit de son Kimono. Ainsi la jeune femme prenommer Shami, allait pouvoir rencontrer Amayazo.

De nouveau, il regardait la voyageuse, attendant patiemment qu'elle donne son identiter au vieux serviteur qu'il etait.

Citation :

...haaa ca alors toi ici Shani c'est extraordinaire quelle surprise ! vraiment si je m'attendais a cela , ne tinquiete pas le maitre des clefs va arriver bientot !

Shani sourit et s'inclina en reconnaissant Yorikasa.

Ravie de te voir, je ne suis pas pressée, je peux attendre.

La jeune fille aux anneaux de jade se tourna vers le vieil homme, et lui adressa un sourire étrange, à moitié triste, à moitié gêné ; qui ressemblait à s'y méprendre au genre de sourire de façade qu'une jeune fille totalement frigorifiée peut adresser à un vieillard, un soir d'été orageux.

« Je suis Jushichi, artiste itinérante et vagabonde des forêts » se présenta-t-elle d'une voix tremblante. « J'ai rendez-vous avec Amayazo-sama, qui est intéressé par m'embaucher... »

Sa voix s'éteignit, à bout de forces. Elle se frotta les bras, mais l'humidité était telle que cela ne la réchauffait même pas. Ah ! Elle détestait l'eau ; comme le chat qu'elle était au fond d'elle-même.
Son élément, c'était les flammes vives et lumineuses ; surtout quand elles brûlaient les châteaux et les manoirs. « Foutre le feu », c'était le paradigme de sa vie ; et la situation présente – être transie de froid sous des trombes d'eau – le symbole que son existence n'avait pas prit le tour qu'elle souhaitait.

« Pourriez-vous me laisser entrer, s'il vous plait ? »

C'était en pleine nuit que le fantôme de Katsumoto apparut aux portes du Shiro Ookami, la voix d'outre-tombe résonne comme si aujourd'hui son cher ami était encore vivant. Ses prières furent exaucées car seul l'esprit de Katsumoto pouvait certainement répondre à toutes ses questions en attendant que sa progéniture vienne icelieu.

D'une voix calme et sereine Amayazo lui dit :

Komba wa mon vieil ami, que les kamis soient loués de te voir ici. Je suis bien évidemment conscient que beaucoup de choses ont changé depuis mon départ et je suis revenu pour remettre les choses en ordre et comme il se devrait.

Mais prend le temps mon ami avant de retourner vers le Yomi de tout me dire sur ce qui fut et ce qui est à Uchi en ce moment. Accompagne moi vers le nihon teien si tu veux bien !

De répondre a l'invitation qui m'a été fait. Je n'ose y croire encore .


Koonichi Wa Amayazo

te souviens tu de moi ???

Je regarde la jeune femme qui vient de se présenté à moi.

Komba wa.... Excuse moi mais je ne voudrais pas t'offenser en me trompant. Toutefois shōjo, tu ressemble énormément à ma soeur Nayomi... Est ce toi ma petite Nayomi ?

Prend Nayomi dans ces bras, même si ce type de marque d'affection son "typiquement" Occidentales, mais la joie était plus forte que les conventions.

Viens ma petite soeur, nous avons tellement à nous dire depuis ce temps passé. Viens dans la maison principale, nous allons en profiter pour boire un bon thé comme notre mère savait le faire.